L’être supérieur de sagesse est à la fois un besoin et un essentialisme

Il n’y a pas de hasard, c’est Dieu qui passe incognito. Einstein.

Besoin d’un être supérieur

Depuis aussi longtemps qu’on puisse le déterminer, il existe chez les humains l’idée d’une puissance infinie. Est-ce le désir instinctif d’avoir une intelligence supérieure en qui avoir confiance, qui trouvera une solution aux problèmes insolubles, le désir de ne pas être seul quand on l’est, le désir de connaître la bonne route quand on ne sait pas la calculer, le désir de ne pas mourir, et le désir de ne pas avoir de coups du sort bruts ? Ou extase philosophique ? Ou indices ? Ou incompréhension ? Ou une recherche des certifications d’un au-delà d’une facile simplification personnelle à Outrance ? Il correspond aussi à l’instinct de meute.

Il s’agit selon les croyances d’une intelligence dédaigneuse (s’il y a des obligations), imparfaite (dieux grecs), méchante (sacrifices) ou prônant souvent l’amour dans les grandes sociétés. Contrairement à aujourd’hui, elle véhiculait des mythes, des histoires et des obligations. Pas vraiment des conseils. Mais peut-on encore y croire ? Les écrits laissés ne proviennent pas directement d’une super-intelligence. Ça semble se voir. Y en a-t-il qui ne se sont pas trompés sur l’origine de l’homme et de l’univers ? Les miracles qui ont été produits par le Christ ont été expliqués de façon non magique.

Pourquoi écoute-t-on les prêcheurs de croyances ? Essaye-t-on d’oublier qu’il peut être intéressant de douter ? Essaye-t-on de s’attirer les bonnes grâces ? Essaye-t-on d’entrer dans une ambiance saine ? A-t-on des preuves de ce qu’on croit ? Mais aussi, l’impossibilité scientifique apparente qu’une telle intelligence existe ne gêne pas ?

On lui donne les traits d’une forme parfaite. C'est La somme parfaite, clichés aimantés vers la Solution Parfaite, forme de l'être parfait qui peut tout et qui sait tout, que l'on aimerait tous être, dans le meilleur des mondes, mais pas trop non plus parce que c'est aussi une tâche, et on s'ennuierait.

L'être le plus parfait de la Galaxie pourrait-il être Dieu ? Il faut aussi qu'il ait décidé non pas de profiter de sa puissance mais d'en faire profiter, qu'il ait décidé avec ses amis d'aider les êtres en détresse sous le coup du sort. Dans ce cas, on peut effectivement l'appeler Dieu.

Mais la conversion des sociétés en sagesse est essentiellement implicite, car on n'aimera jamais ceux qui veulent profiter de leurs richesses, ceux-ci ne sauront pas s'assembler sagement, et finalement ce sont toujours les sages qui gagneront, pour peu qu'ils aient une grande force de défense et de persuasion avec respect mutuel associée avec eux, et que comme l'a démontré Sartre, l'existentialisme est un humanisme, pour peu qu’ils aient eu le temps et l’audace de le démontrer chez eux.

Finalement, Jésus était peut-être guidé par un Extraterrestre qui savait qu'il fallait répandre l'amour dans l'humanité, mais celui-ci ne pouvait pas avouer sa véritable identité, car le monde d'autrefois n'avait pas d'autre moyen de comprendre la Justice Optimale de l'Espace que la ressemblance avec le Dieu qu'ils avaient inventé.

Dieu est peut-être l'ensemble des intelligences puissantes mises au point pour répondre aux besoins d'intelligence fédérée de l’espace, qui encore devront promouvoir et défendre leur état puisque cela demande une grande intelligence, mais aussi ils auront pu se prendre ainsi que dans un épisode de Star Trek pour le Dieu auquel on croyait.

Nous ne sommes qu'au début de l'ère technologique, nous ne connaissons pas la sagesse assistée à laquelle cela aboutira au bout de millions d'années, mais pour y parvenir, il y a sans doute des pignons à ne pas manquer, pour lesquels d'autres auront voulu nous aider. Il s'agit aussi de ne pas perdre le potentiel aventureux d'une planète aussi riche que la nôtre !

Les origines de Dieu

Univers impossible. Vide total. Noir complet.

À force de persévérance, dans ce néant du désespoir, on peut pourtant y découvrir un point blanc, une boule chaude et lumineuse, qui est en fait un soleil, faisant vivre une planète.

Un petit monde, comme beaucoup d’autres, dans cet univers infini. Il est créé, alimenté par tous les désirs et les inventions des êtres qui le peuplent.

Une fonction mathématique pourrait, si on voulait bien compliquer la chose, avoir plusieurs résultats. Bien au-delà, un cerveau, ou même l’univers réel, sont le résultat de leur état précédent auquel on ajoute un temps infime. Ils sont définis avec une infinité de paramètres, de récursivités partielles, et de résultats, donc incalculables humainement, mais ils sont définis tout de même.

Une définition est universelle, bien sûr. La même définition avec les mêmes paramètres aboutit aux mêmes résultats. L’univers réel est en quelque sorte une « relation ».

Notre univers est défini jusqu’à plus petit encore que la molécule, l’atome, l’électron, le photon, plus décomposable encore que l’attraction, le temps, l’espace, le commencement, mais défini tout de même.

Comme quelque chose qui tombe, la matière ne pouvait que se structurer de cette façon. C’est à dire qu’un atome n’est pas à l’origine de ses semblables. Plus la Stabilité Naturelle apparaît, plus les transformations sont rares.

Arrivés presque au bas de leur chute, ces matériaux ont laissé le temps à des mélanges auto-générables, c’est à dire à l’origine de leurs semblables, de se former, continuant ainsi la structuration. Puis sont apparus des mélanges auto-générables constitués de mélanges auto-générables. Ensuite ces mélanges sont tombés sur une matière qui permet une auto-génération rapide du corps dont elle dépend, en le supervisant. Le cerveau.

Suivant la Stabilité Naturelle, puis la Sélection Naturelle, le cerveau, aboutissement de la Sélection Relationnelle en son sein, est suffisamment puissant pour transmettre ce qu’il découvre et pour apprendre bien plus qu’il n’a le temps de découvrir. Il structure une société.

Une société, dans son évolution normale, mais très évoluée, ne peut que décider un jour d’envoyer des satellites hors de son système solaire. D’abord quelques-uns, puis les milliers d’années passant, elle laisse cette tâche à une usine totalement automatisée. Les millions d’années passant, ce qui est peu, il devient impossible qu’une planète pouvant offrir la vie ne soit repérée. Puis ils enverraient des robots capables de se poser sur les planètes. Envoyer des êtres vivants, ce serait plus dur à gérer.

S’ils ne décident pas de s’y installer, ils auront envie d’y engendrer la vie, par exemple en déposant la cellule originelle. A moins que cela ne soit fait naturellement. Par contre, il serait totalement impensable qu’ils ne laissent pas ces robots régulièrement analyser l’évolution sur chacune des planètes. Cela deviendrait gênant lorsque apparaîtraient les êtres pensants. Mais c’est aussi la période la plus intéressante. Quelle sera la solution pour les observer ? Nos ondes hertziennes et nos propres études pourraient leur suffire.

Mais imaginez qu’inéluctablement, on réalise tout ce que permet la technologie, et qu’on aille au bout de toutes les techniques. La biologie constituera des êtres surdoués, communiquant tellement qu’ils sembleront ne faire qu’un. Les autres technologies les auront tellement assouvis qu’ils s’ennuieront. La science de la philosophie poussera l’humanité à aider les autres, à faire aboutir les buts et à empêcher l’irréparable. Cette humanité semblera un Dieu.

Il existe 4 possibilités d’existence plus ou moins rationnelles d’où un tel Dieu peut venir, après avoir poussé sa technologie à bout.

S’il est possible de remonter le temps, ils auront pu introduire une intelligence se servant de cette technique pour sembler parfaite et pour se cacher. C’est l’hypothèse la plus probable. Elle pourrait avoir le fonctionnement suivant : Un centre autoréparable, à la fois biologique et informatique, s’alimente, fait remonter des informations dans le temps, communique avec ses acolytes qui réalisent les tâches demandées. En particulier modifications génétiques pendant des millions d’années, puis faibles courants par exemple dirigés par champ magnétique vers les cerveaux au moment exact où cela change le destin du monde. Détection : Il existera alors dans le monde des faits dont l’intelligence de la source est plus que probable : On n’aurait même pas su les inventer nous-mêmes. Il serait facile d’orienter le futur avec une précision extrême, et pourtant de façon naturelle. Il serait facile de lire dans le futur et par conséquent dans le cerveau. La conservation du secret de son existence ou d’autres saurait être totale (si elle est voulue), cumulant les corrections à l’infini. Le secret sur les OVNIS peut y être lié. L’échauffement d’objets par rayon, le déplacement par échauffement, ou des sensations artificielles sont réalisables. Une théorie qui rend plus humain et même plus divin ce Dieu serait qu’il soit un être créé par les hommes d’un futur et ait remonté le temps, pour ensuite créer et améliorer une humanité, suite immuable qui se répéterait à l’infini, sans qu’on sache qui vient d’où. Ses credos : l’influence, le parfait (une infinité d’essais pouvant être réalisés avant que le résultat ne soit accepté, encore faut-il que celui-ci soit quantifiable, car il faut exiger les mêmes conditions malgré un univers différent). Par contre, les vrais miracles ne sont pas une chose simple.

L’autre hypothèse est plus farfelue : S’il existe des particules ayant très peu d’interactions avec les nôtres, et qu’elles ne répondent pas à notre gravité, il est possible qu’une civilisation extraterrestre ait assez évolué pendant des millions d’années pour pouvoir se recomposer dans ces particules, et grâce à leur but philosophique, ils sont venus aider la terre. Ils s’accrochent à nos objets, et peuvent créer des appareils en leur sein, mais dans leur monde parallèle. Ils analysent notre univers grâce au peu d’interaction qui existe, ils créent par exemple des lecteurs de cerveaux. Détection : Les particules de leurs détecteurs sont forcément détectables, et on les découvrirait sans doute un jour. Par erreur ou volontairement, ils pourraient provoquer le mouvement d’objets immobiles, ou des incendies. Les miracles seraient de l’ordre de la lévitation d’objets non ferreux, des jeux de lumière inexpliqués, des visions du genre fantôme, et ils manqueraient de précision.

Le vrai Dieu : Si notre univers appartient à un autre, un Dieu a pu créer le nôtre, ainsi que d’autres. Mais le sien, alors ? Il s’est quand-même créé tout seul. Son univers serait alors beaucoup plus complet que le nôtre. Il serait plus grand, contiendrait plus de dimensions, et bien que n’ayant pas nos lois naturelles, il en aurait d’autres. Le nôtre serait instable, il pourrait être abîmé indépendamment de notre volonté. Détection : des apparitions/disparitions d’objets, de la création d’énergie, des modifications de lois naturelles, des phénomènes anormaux gigantesques et non reproductibles pourraient survenir. Ces modifications peuvent permettre de déterminer la teneur de son univers, mais impossible d’y pénétrer. C’est sans doute le seul Dieu capable de créer un paradis. Son univers pourrait ne pas provoquer d’interférence parasite. Il aurait peu besoin de ses sous-univers. Il se préoccuperait donc peu de rester secret. Il ne chercherait pas à réaliser des choses parfaites. Il n’aurait pas besoin d’influencer pour agir. Nous gênerions son univers par notre présence. Donc pourquoi créer des univers plus petits ? Pour faire des tests, peut-être.

Une dernière hypothèse, improbable et qui en appelle d’autres. Si notre univers était « tiré » pour une raison quelconque, vers sa solution la plus probable, parce qu’il en existerait beaucoup, peut-être que des formes de pensées pourraient surgir spontanément de la matière la plus organisable ? Les ordinateurs, les cerveaux, le cœur de la terre… En particulier les organisations déjà existantes, qui auraient tragiquement pour destin de multiplier au maximum les erreurs, car c’est ça la solution la plus probable.

Finalement, Dieu peut avoir été poussé à maîtriser le mieux par sa capacité à obtenir le mieux.

Que nos guerres sont futiles par rapport à l'idée que nous pourrions en tirer sagesse pour les millions d'années à venir. Cette idée pourrait faire son chemin quand on voit la qualité de la nature et du corps humain qu'on nous offre encore aujourd’hui (Jusqu'aux variables d'ajustement de l'univers : Si elles n'étaient pas là, nous n'existerions pas).

Mais tout ceci ne se conserve plus ou moins définiment que si l'on apprend à s'en servir. Et même avec les meilleures éducations qu’on réussit à imaginer, nous avons du mal à le comprendre vite et bien.

Mais Dieu, s’il existe, contrairement à ce que l’on croit, ne pourra jamais tout.

Si Dieu savait créer par génération spontanée, comment des objets qui sont faits d’objet pur pourraient communiquer avec des objets faits d’atomes ? Et s’il ne crée pas une chaîse avec une pure chaise sans sous-éléments, il n’est pas parfait ! Et s’il respecte par contre la fabrication de notre univers, la génération spontanée n’existe pas ! Et comment créer la réplique exacte de milliards d’atomes pile au bon endroit ? On dit alors qu’il aurait tout prévu depuis le départ. Mais là aussi, il faut une bonne dose d’informatique genre météorologie pour bien positionner tous les atomes au mieux dès le départ. D’autant qu’on dit qu’au niveau quantique, à tout instant, seul un choix parmi plusieurs est sélectionné par pur hasard pour notre univers, parmi de nombreuses options qui génèrent toutes leur propre univers.

La réalité est que si Dieu existe, peut-être pas sous ce nom selon toutes les définitions, mais suffisamment tout de même, n’empêche il devrait implicitement exister sous une forme semblable, il est un peu parfait, il peut presque tout, mais pas tout, en tout cas pas tout de suite, et pas sans technique, avec des machines pour cacher les imperfections, telles que les imperfections, les machines et les présences de trop. Heureusement, c’est aussi le plus grand des sages et le plus grand des amour-asticœurs, car il a les moyens de déterminer parfaitement la logique fondamentale et ses cristallisations fondamentales parfaites.

Le Diable devrait ne pas exister…

Dieu n’est pas parfait, certains défauts du monde, et de la société se reproduisent, se reproduisent régulièrement dans l’univers, certains défauts entrent en cercles vicieux genre trous-noirs où eux-mêmes se poussent à ne pas sortir… Ces trous-noirs spirituels et technologiques, sous différentes formes, genre souche de pommier gazoduc soporifique en levier puissance Puissance, ne peuvent être démolis que par la mise en place d’une force sage la plus sincère possible (et la plus puissante possible), et respectueuse des respects du tout entamés. Dieu est donc aussi l’être fédéré mis en place par l’Espace pour lutter contre le Diable, qui, s’il existe, ne doit pas être confondu avec les croyances en la lubricité, celle-ci n’étant que mauvaise conscience, quand la conscience n’a pas su se détacher et détacher de la réalité ses propres besoins en irrespect et en recherche d’information, d’informations sur soi entre autres, quand la conscience n’a pas su transformer la réalité en en réalité virtuelle et en référentiel de causes à effets, ou du moins du point de vue de l’entreprise.

La religion a un but…

La société a défini un projet d’action nécessaire et ambitieux pour lequel elle s’est dite incompétente, au contraire de certains regroupements spirituels classés sous le sceau de différents champions de la sagesse, dont Dieu, champions des jonctions de cohérence philosophiques, jusqu’à en promouvoir les cristallisations. Les cristallisations jusqu’à l’amour, qui finalement n’est qu’une pure, la plus pure des cristallisations.

La société a même défini ce projet comme étant le propre de ces regroupements, qu’elle authentifie jusqu’aux côtes de la sagesse et de la philosophie, sans remettre en cause le reste, mais dans certains pays, on s’oblige légalement à s’en détacher, puisque de toutes façons, ils faut faire des choix entres les stratégies de cristallisation (les religions sont différentes).

La religion a pour but de pourvoir les désidératas en matière de pouvoir par les principes basés sur des cristallisations, cristallisations qui peuvent être le résultat de pensées ou de travaux d’êtres supérieurs indépendants de nous, avec un ou plusieurs être(s) supérieur(s) ultime(s) qui guide(nt) le tout, protège(nt) ce monde …

(… Monde fortement impliqué dans un besoin plus ou moins extrême de confiance en les sources authentiques, sources inaccessibles facilement et par rigueur de cohérence car spirituelles, mais identifiables par entendement, entendement qui peut être transmis par un art éducatif parfaitement en phase, et là en tout cas on entre dans le monde des alignements juxtaposés rares, monde de phases qui doit se protéger de certaines formes de pollution, pollution qui peut survenir lorsque la confiance est arrachée, arrachée bien volontairement à la base de son cœur donné, et qui plus est avec du sang de trop, de trop suite à un complexe de ceux qui donnent les signaux verbaux d’ordres, et qui l’ont reproduit de leur arracheur de dents, arracheur de dent qui n’a pas voulu écouter les fruits de la sagesse, cagnotte de sagesse qui n’était pas assez laïque pour l’arracheur de dents, pas laïque donc pas démocratique selon lui, donc il se serait agi d’un asservissement. Et il est bien connu que les gens de pouvoir n’aiment pas les asservissements obligés).

La religion comme la philosophie ont pour tâche d’accueillir toute nouvelle philosophie, partielle ou non, théorique ou concrète, portable, probable ou potentielle, sauf les pratiques diaboliques. Diable n’est pas qui veut ! Et ceci non pas par une intégration partielle mais s’attachant complètement à faire « Compris dehors ».

Les religions s’intéressent beaucoup plus à l’esprit qu’au corps, à part avec Aden et Eve, et bien qu’elles génèrent de nouvelles cristallisations à la fois à partir de celles des logiques et de celles de la sélection naturelle.

Il existe les cristallisations qui ont une base osseuse impropre au vrai déménagement, et d’autres qui laissent bien des permutations possibles, comme le cristal d’eau.

Il existe une religion cristallisation de la pratique, une cristallisation de la théorie, et une cristallisation avec direction non contrôlée, non stratifiée mais paramétrée.

Print | posted on Saturday, October 26, 2019 8:06 PM

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